710... YOU, YOU, YOU (all you) never EVER believed in me! aren't you?
This was the text I typed (not very easy... I hope Damz will have an easier text on FR(BE)! because parler d'architecture et de multiplication, c'est kass-bonbon):
"Les métiers de l'architecture sont mal connus. Les évolutions de la technique, la multiplication des paramètres à prendre en compte dans la construction, les changements qui interviennent dans la commande ont en effet contribué à estimer les frontières qui permettaient de les distinguer. Dans le partage traditionnel des tâches et des missions, les architectes étaient responsables de la conception du projet, de l'esquisse à l'avant-projet détaillé ; les ingénieurs et les bureaux d'études étaient chargés de la technique et de la mise au point de l'exécution et les économistes de la construction du contrôle des coûts. Mais la complexification du processus de construction et la crise du bâtiment ont conduit les cabinets de maîtrise d'oeuvre à externaliser un nombre croissant de fonctions entraînant une multiplication des métiers et un effacement des frontières qui les séparent tandis que dans le nouveau jeu des acteurs, ceux de la création s'affaiblissent. Tandis que les contraintes financières augmentent, que les entreprises empiètent sur le champ de l'ingénierie, les trois professions évoquées ci-dessus côtoient désormais les professionnels de l'ordonnancement, du pilotage et de la coordination, les urbanistes, les paysagistes, les géomètres experts, les architectes d'intérieur. Mal connu, ce secteur est également un secteur en crise. Cette crise structurelle et qui s'est constamment aggravée au cours des dernières années s'expliquer par la conjonction de plusieurs facteurs. Tout d'abord, la crise de la demande et de la commande semble devoir perdurer. Comme le constatait un récent rapport, il n'y a pas d'accroissement du marché traditionnel à attendre de l'évolution de la nature des travaux. Dans ce contexte économique en stagnation, le changement des rapports de force se traduisent par une concurrence qui contribue à transformer les partenaires en rivaux. Enfin, la maîtrise d'oeuvre, affaiblie par un environnement imprévisible, se trouve en tenaille entre un amont et un aval puissants : d'un côté, une maîtrise d'ouvrage publique et privée de plus en plus exigeante, soumise à de plus en plus de contraintes de toute nature y compris juridiques et qui est tentée de tirer parti de sa position de force pour reporter sur la maîtrise d'oeuvre une partie du risque financier inhérent aux aléas du chantier ; de l'autre, des entreprises du bâtiment et des travaux publics, particulièrement puissantes en France, qui, disposant de moyens d'études conséquents peuvent contester techniquement certaines options de la maîtrise d'oeuvre et imposer les variantes de leur choix. Ces grands groupes rachètent d'ailleurs bon nombre d'entreprises locales de qualité les amenant à changer leur culture et leur conception des métiers. C'est également ce contexte qui inquiète les maîtres d'oeuvre face aux perspectives de partenariat public-privé. Au sein de ce secteur, les architectes occupent une position particulière, du fait de leur caractère de profession réglementée et du fait d'une vocation globale qui devrait, du moins en principe, les amener à effectuer la synthèse des différents aspects techniques, sociaux et esthétiques d'un projet architectural. Les chiffres illustrent l'ampleur du malaise qui frappe cette profession pourtant emblématique. Cette crise se traduit notamment par un repli de la population active des architectes qui implique principalement les femmes et les jeunes. La proportion des femmes est restée stable, alors que la féminisation des diplômés s'est poursuivie pendant toute la période. Par ailleurs, quel est l'avenir d'une profession qui enregistre une telle hémorragie des jeunes diplômés, au risque de compromettre son renouvellement démographique ? Comment cette profession pourra-t-elle survivre si les jeunes qui s'y sont destinés au terme de cinq années d'études désespèrent de pouvoir exercer convenablement leur métier ? La situation de quelques grandes agences d'architecture et la renommée méritée qui fait honneur au pays, de quelques vedettes de rang international, ne doivent pas occulter les difficultés éprouvantes auxquelles est confrontée la très grande majorité des architectes français. Mal connus, généralement mal traités, les métiers de la maîtrise d'oeuvre sont également souvent mal aimés de nos compatriotes, qui les rendent responsables de la laideur et de la banalité de bien des constructions récentes, des errements de l'urbanisation et, d'une façon générale, de cette crise de la ville et du vivre ensemble. La multiplication des bâtiments sans âme, l'étalement urbain, les insatiables extensions de cités dominant de leurs blocs massifs le mitage pavillonnaire de banlieues insipides sont autant de symptômes d'une pathologie de l'architecture et de l'urbanisme en général. Le désastre des entrées de villes et les sinistres cités dortoirs enserrant le coeur historique des plus belles villes de France ne sont pas seulement des atteintes esthétiques au paysage français. Ces phénomènes ont une dimension sociale que personne aujourd'hui ne conteste et qui est au coeur des programmes de réhabilitation des quartiers et de la politique de la ville. Les pathologies de l'urbanisme et de l'architecture sont plus le reflet que la cause d'une crise sociale profonde caractérisée par une difficulté de nos citoyens à vivre ensemble : incivilités ou repli sur soi, incapacité des responsables politiques aussi à maîtriser les métamorphoses des années passées. Sans doute faut-il aussi incriminer une dérive de certaines maîtrises d'ouvrage qui se sont soumises à la production uniforme de logements, à une absence des élus locaux trop dispersés et trop souvent dépourvus de moyens. Ces maux sont bien connus et dans la désignation, souvent hâtive et injuste des responsables, les architectes et les métiers de la maîtrise d'oeuvre sont souvent parmi les premiers incriminés. La création architecturale, la qualité des constructions, leur insertion harmonieuse dans le milieu environnant, le respect des pays naturels ou urbains ainsi que du patrimoine sont d'intérêt public. Il faut aussi souligner une évidence : le sursaut culturel qu'appelle la politique de la ville aujourd'hui ne peut se faire sans les professionnels du cadre de vie et en particulier les architectes. Or, ils sont gravement menacés. La complexification croissante des processus de construction, renforcée par l'apparition permanente de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux ainsi que le renouvellement constant des réglementations ont entraîné un éclatement des tâches et une multiplication des acteurs qui a été elle-même aggravée par la crise du bâtiment. Les architectes qui, dans l'après-guerre, intégraient en interne au sein de leurs agences les compétences techniques et économiques, les partagent désormais avec d'autres professions qui se sont constituées, le plus souvent, par externalisation des fonctions, comme par exemple les économistes de la construction. Comme le constatait un expert, on assiste depuis la f"
Vous en pensez quoi ?
Ok, là où j'men veux terriblement, c'est que si j'avais fait DEUX et non TROIS fautes, eh bien j'aurais 7000 points, PILE POIL !
Bref ! Est-ce que j'suis dans la position de pouvoir viser un 750 d'ici un an ? C'est la question que je me pose.
Chen, suis-moi ! Visons le 750 (= 125 wpm in French and 150 wpm in English) ! Dakor ?
Mais... J'FINIRAI PAR AFFIRMER QUE TAPER À 700 CPM, C'EST INCROYABLEMENT DINGUE !
(Alors à 800 ? Comment font-ils ?

)